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Des photos inedites de la finale 2010

Variétoscope, pourquoi le niveau baisse?

Le grand dossier

Variétoscope est en Cote d’Ivoire, l’émission de vacances par excellence. Même la sous région nous l’envie, car elle a beau être imitée, cette émission, n’a pas son égal. Tout cela est bien beau. Mais le niveau, de Variétoscope que les fans idéalisent tant, à tendance à baisser, et ce pour diverses raisons. Il est encore tant, avant qu’il ne soit trop tard, de tirer la sonnette d’alarme, afin, plus que de situer les responsabilités, trouver les raisons, pour en déduire des solutions, dans l’optique de permettre à l’émission de s’améliorer. C’est pour nous (Fans) un droit, mais aussi un devoir. Les mots sont fais pour être dits, les maux aussi.


Pourquoi le niveau baisse ?


L’édition 2010 a mis en lumière, tous les problèmes, qui peuvent entraver au bon développement de l’émission.

Les groupes manquent de moyens



Tout d’abord, Variétoscope nécessite de la part des groupes, un certain nombre de moyens et pas des moindres. Jean-Crépin Boka, président du PVP dance du Plateau (vainqueur 2009) : « Pour prétendre au sacre à Variétoscope, il faut au minimum 10 millions ». Ce genre de sommes, peu d’autorités sont prêtes à les débourser. Et même quand elles le font, elles n’ont pas le courage de rééditer ‘’l’exploit’’. Aboulaye Ouédraogo, président d’Agir dance de Guibéroua : « En 2009, le maire nous a octroyé 9 millions. En 2010, il a hésité à nous soutenir. Ce n’est qu’à partir des demi-finales, qu’on a eu des réponses positives ». Le constat qui est fait, c’est que les groupes sont de moins en moins soutenus financièrement. Comment produire un beau spectacle dans ces conditions, alors que le sponsor pense que l’essentiel n’est plus de participer. Conséquences, les prestations sont de moins en moins spectaculaires. Certains groupes préfèrent tout simplement déclarer forfait. Malheureusement, ce n’est pas la seule source de problèmes.

Des règles inutiles


On assiste à chaque édition, à l’invention, quelquefois en direct, de règles qu’on pourrait qualifier de farfelues, pour ne pas être trop durs. On a d’abord commencé à limiter le temps de disposition des décors à 5mns. Cela a occasionné des décors placés complètement à l’envers, dans la précipitation et faute de temps. Comme si cela ne suffisait pas, on a ensuite fixé à 30mns, le temps imparti pour toutes les prestations, avec une méthode de chronométrage qui est critiquable. Dès lors, on a assisté à des prestations inachevées, le morceau au choix, faisant les frais du chrono. Il y a aussi le fait que selon la règle, le champion en titre n’a pas le droit de se représenter l’année suivante. Incohérent, quand on veut maintenir le niveau élevé. D’ailleurs, les groupes qui en ont été déjà victimes pensent que « ce n’est pas normal » et que « cette règle n’arrange personne ». C’est le champion en titre qui tire les autres groupes vers le haut, puisque c’est lui qui est à détrôner. Quand le champion n’est pas là, la compétition est moins pimentée. Pourquoi se priver d’un groupe qui a déjà fait ses preuves ? Cette règle a fait disparaître plusieurs groupes. Le public est ainsi privé de bonnes prestations. Toutes ces règles sensées apporter un plus, n’ont fait que détériorer le niveau du spectacle, qui est, sans se leurre, le principal aspect, faisant la grandeur de l’émission. D’autres inventions sont discutables, comme le vote du public, qui rapporte trop de points et pour lequel, les groupes et les fans, réclament « plus de transparence et de clarté ». Certains justifieraient ces règles, par le fait que ça incite les groupes au professionnalisme. Mais si cela devrait se faire, au détriment du spectacle, les fans, les rangeraient très vite au placard.

Pas d’organisations véritables


On a l’impression, que les éditions de Variétoscope, ne se préparent pas vraiment. Ni par l’équipe de production, ni par les groupes. Alors qu’à la différence d’eux, les fans les attendent avec impatience, car ils remplissent toujours les salles. L’exemple de l’édition 2010 est flagrant. L’équipe de production était informée que la rentrée scolaire était fixée au 13 septembre et que la fresque du cinquantenaire engagerait les membres de groupes. Mais rien de spécial n’a été fait pour pallier à tout cela. C’est vrai que les présélections ont démarrées plus tôt que d’habitude. Mais elles ont été reportées, quand on a constaté que la machine n’était pas bien huilée. On a alors attendu le retour des élèves en classe d’examen et des danseurs ayant participé au cinquantenaire, pour la relancer. Volcano, chorégraphe : « Le niveau jusque là, n’a pas été ce qu’on espérait. Le cinquantenaire a rendu les choses beaucoup plus compliquées ». Tous ces désagréments, nous ont permis de voir, un calendrier surchargé. Un membre de l’équipe de production nous a même avoué que « les choses ont été précipitées, à cause de la rentrée scolaire ». La plus grande victime fut donc la génération Kondiebouma de Tiassalé, qui s’est présentée en demi-finale, sans avoir eu le temps de répéter. « On a eu qu’un seul jour pour se préparer, quand les autres en ont eu au moins 5 ». Les groupes aussi ont leur part de responsabilité dans cette baisse de niveau, car peu d’entre eux sont bien organisés. Il est rare qu’un groupe qui a déjà participé à Variétoscope, revienne avec le même nom et la même organisation. Cela pose donc un problème de stabilité. A chaque édition, ce sont des visages différents, qui se présentent face aux maires et autres personnalités, pour d’éventuels soutiens financiers. Comment établir la confiance dans ce cas là ? Aussi, il n’y a plus d’innovation au niveau des prestations, comme nous disait cet ancien de Variétoscope, ex-membre d’éveil d’Adjamé : « C’est toujours les mêmes pas de danse, toujours les mêmes costumes. On voit toujours les mêmes choses » Le manque d’organisation, il y en a aussi chez les fans de l’émission. Un Fan de Variétoscope avait lancé : « Une organisation des fans de Variétoscope, maintenant ou jamais » Dommage que ce ne soit pas encore le cas. C’est le public qui apprécie le spectacle, proposé par les groupes et organisé par l’équipe de production. Pas sur, que si les salles étaient vides à chaque édition, Variétoscope continuerait d’exister. Les fans ont donc leur mot à dire, mais sont coupables de ne pas s’en donner les moyens, occupés qu’ils sont, à festoyer dans la salle plus qu’à apprécier le spectacle.


Tous ces problèmes ci-dessus décrits, sont pour nous, les causes véritables, de ce qui est aujourd’hui reconnu, aussi bien par les fans, les membres de groupes, que les observateurs avertis : la baisse du niveau de Variétoscope. Nos enquêtes prochaines, sur les misères vécues par les groupes à Variétoscope 2010, conforteront cette analyse. Le débat est donc ouvert. Ensemble, trouvons les solutions.



@Markez

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VARIETOSCOPE 1989: IL YA DE CELA 21 ANS

Varietoscope 1989-1ere Partie



Varietoscope 1989-2eme Partie


Varietoscope 1989-3eme Partie


Remerciements a Cheick2Paris qui a bien voulu partager ses videos avec nous. Vous avez des videos ou clip de varietoscope a partager avec nous, N'HESITER PAS, envoyez nous un email.

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DJIBE ST PIERRE DE YOPOUGON
L'example de Soundjata Keita, Demi-finale 2008